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2.80/5

Three: Cut

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les avis de Cinemasie

6 critiques: 2.62/5

vos avis

32 critiques: 2.73/5

visiteurnote
Jonathan-Asia 2
Illitch Dillinger 2
Samehada 2.5
koalaurent 2
X27 3.25
Bastian Meiresonne 0
el sinior canard 3.75
chronofixer 3.5
Izzy 2.75
Jérôme.D 1.25
Titeuf@ 4.5
750XX 2.75
Sébastien 2
Simon VD 3
antigone 3.25
osdohtem 3.75
dll_povtyp 3.5
Pikul 3
JoHell 3
Bama Dillert 0
Feid 3.75
Manue 3.5
yansan 4
geez 3.5
Tred 3.25
seijûrô hiko 4.5
Dooliblog 1.5
Oh Dae-soo 3.75
Phildu62 0.75
shaya 3


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

CUT est une histoire Coréenne de revanche, un peu trop longuette et théâtrale pour convaincre selon moi. L'idée en soi n'est pas mauvaise, mais l’exécution se traîne un peu trop.

19 septembre 2016
par Jonathan-Asia


Un studio de cinéma en double-décor pour PARK Chan-Wook !

Hélas, cet exercice est périlleux et rarement bien exécuté par les réalisateurs, PARK Chan-Wook (que j'adore pourtant) n'échappe pas à la règle. Selon moi l'essai est ratté, on ne retrouve pas la violence frénétique et insensée de ses films ; le côté gore de "Cut" n'est qu'une exigence scénaristique pour "3 Extrêmes". Rien d'intéressant du coup, PARK Chan-Wook s'est laissé prendre à son propre piège. LEE Byeong-Heon est assez peu crédible dans ce rôle, ce qui ne relève pas l'ensemble au contraire. Grosse erreur de casting pour moi. Bref, restent les effets visuels, la pianiste encordée avec style certes, mais qui n'est pour moi ni plus ni moins qu'un appât de bande-annonce.

18 mai 2005
par koalaurent


Correcte

Au niveau de l'esthétisme, j'ai trouvé que le segment "Cut" etait le plus beau . Le sol en damier noir et blanc, la femme attachée à son piano avec des cordes de ce dernier telle une proie prise dans une toile d'araignée ... Une histoire des plus simple ... Un segment gothique et flamboyant, un cauchemar teinté de romantisme .

08 mai 2005
par X27


COUPEZ !!!

Nouvelle preuve de tout le mal que je pense de Chan-Wook Park, le réalisateur le plus surestimé de son pays et de son époque (exception faite - peut-être- de son JSA). "Cut" est donc dans la droite lignée de son précédent "Old Boy" : violence graphique complaisante et totalement gratuite, un coup d'éclat final (sans séance hypnotique cette fois), un scénario tiré par les cheveux que ça en donne mal au crâne. L'idée à ce qu'un acteur de seconde zone (ou figurant) terrorise un réalisateur n'est pa nouvelle; l'idée d'un tueur sur un tournage encore moins. Park comble son vide absolu scénaristique par des gros mouvements d'appareils - sans doute pour se perfectionner pour des longs métrages futurs - bonjour, s'il empruntera la même voie que David Fincher... Je n'ai même pas envie de perdre du temps à écrire quoi que ce soit sur ce navet - que ceux qui ont aimé "Old Boy" vont peut-être trouver quelque intérêt à subir cet interminable nouvel acte du réalisateur chéri; que ceux qui chercheraient de l'orde du même style, mais en infinément plus original investissent plutôt dans le curieux "Save the Green Planet" : les séances de torture y sont plus nombreuses, plus sadiques; mais au moins le scénario est vraiment original et la mise en scène sans esbroufe.

15 mars 2005
par Bastian Meiresonne


La Corée au dessus du lot!!

Autant le court Coréen "Memories" de "three" premier du nom n'était pas fameux, autant "Cut" s'en sort avec une mention spéciale.Deuxième mandale en peu de temps de la part de Park Chan Wook. Après le génialissime "Old boy", le réalisateur continue son analyse du mécanisme de la destruction chez l'humain.Vous êtes face à un choix terrible : tuer un enfant ou couper les doigts de votre compagne qui, petite précision, est pianiste. Un scénar génial servit par des acteurs crédibles, assorti d'une réalisation sans faille.Voici donc le bouquet final de cette compilation (car le court se place en dernier), qui va forcément vous faire réagir,et c'est précisément le but recherché...!

04 décembre 2004
par el sinior canard


pas si nul que ça.

sur les 3 segments celui ci est au milieu pour moi. je crois que les gens l'ont abordé avec beaucoup trop de sérieux et d'attente. en l'appréhendant comme ce qu'il est, c'est à dire un court métrage horrifique dans la veine exagérée et jusqu'auboutiste que l'on connaît à l'auteur, je le trouve pas mal, moins ch.... que le segment de MIIKE. PCW fait dans l'énorme mais ça passe grâce à l'esprit décalé. il y a de bonne scènes bien tendues aussi, c'est ce qui rend ce huit clos intéressant. bref il ne faut pas chercher exactement le même état d'esprit que pour OLDBOY, c'est moins sérieux là, mais ça reste divertissant.

22 novembre 2004
par chronofixer


Sur la pente descendante?

Virtuosité? Certes! Mais une virtuosité qui tourne à vide (rien à foutre des personnages, retournements de situation/révélations frisant le ridicule, message asséné à coups de massue,...) Dommage, les deux premières minutes étaient excellentes, mais dès que le tournage s'arrête, c'est la cata...

13 novembre 2004
par Izzy


Culture Pub

Espérons qu'avec Cut la bulle PCW éclate aussi vite qu'elle a gonflée. Force est de constater dans ce moyen métrage moyen partout que l'auteur se recycle. Toujours la même obsession de l'enfermement et des bourreaux, jeu sur la réversibilité des postures et subversion programmée, mise en scène virtuose en pilotage automatique et scénographie pseudo synthétique tendance made in Japan. Pourtant Cut commençait plutôt pas mal avec son histoire de vampire moderne qu'on imaginait avec un certain plaisir dévier vers un maniérisme façon The Addiction. Mais non, PCW est un cinéaste malin, il aime les dispositifs et attention à la réflexion et autres figures de réflexivité. Mise en abîme et discours dans Cut se résument à pas grand chose, une approche assez pesante des rapports dominants dominés transfigurés dans (ô suprême audace !) le cadre d'un décor de cinéma. Je crois qu'il n'est même pas la peine de voir derrière cela un éventuel discours socio-politique quelconque tant vanité rime ici avec vacuité. Le problème de PCW c'est qu'il n'assume même pas pleinement son maniérisme tant ses volontés discursives de collégien finissent par parasiter une oeuvre au potentiel formel vaguement intéressant. Cut à l'instar d'Oldboy montre encore que la seule vraie perversion de PCW réside dans la volonté de construire une fiction perverse. Nous qui regardons somme déjà au-delà tant ses images sont immédiatement décryptées avant même qu'elles n'aient provoqué quelque chose en nous. PCW a finalement bien un point commun avec l'art contemporain et par extension la publicité, ce qui compte chez lui est davantage l'idée.

05 novembre 2004
par Jérôme.D


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